Blog officiel du recueil de nouvelles
"Les Contes et légendes de Vendée",
ouvert à tous les intervenants...
créateurs, membres du jury, auteurs et lecteurs,
pour le plaisir de prolonger et partager
la magie de cette aventure extraordinaire...



27 septembre 2010

Journées du Patrimoine : les auteurs ont dédicacé !

Un soleil radieux a illuminé ces journées du patrimoine où nous n'avons pas failli à notre devoir. Ce n'est pas vraiment un devoir pour nous, à vrai dire, ces séances de dédicaces étant à chaque fois l'occasion de nous retrouver et de faire de belles rencontres avec les lecteurs.

Comme plusieurs sites du département nous avaient amicalement ouvert leurs portes, nous nous sommes réparti la tâche au Refuge de Grasla, à l'Historial des Lucs-sur-Boulogne et au Chateau de Tiffauges.

En voici les comptes-rendus :

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François Hublet a démarré les hostilité
et planté le décor de l'Historial
sans oublier de gentiment nous narguer :


Le Lucquois n'est pas matinal, mais il est assidu !

C'est sur cette heureuse morale que s'est achevée, il y a quelques minutes à peine, la séance de dédicaces organisée à l'Historial de Vendée aux Lucs-sur-Boulogne dans le cadre des Journées du Patrimoine... en attendant un résumé détaillé, voici, en quelques phrases, les résultats de nos péripéties dominicales...

Après une matinée complètement apathique (désolé pour Marie-France et Pierrette) pendant lequel le score astronomique de 0 livre vendu a été atteint haut la main (et surtout haut les coeurs pour la suite de la journée !), la fin de journée s'annonçait laborieuse, malgré les sandwitches réconfortants engloutis à la pause...

S'annonçait seulement ! En effet, dès 13h00, une première personne s'avançait, volontaire pour nous délivrer de notre profonde léthargie, suivie (le bon vieux diesel est puissant mais démarre lentement) d'une seconde une heure quarante-cinq plus tard... à 14h45, donc, guère d'éclaircie à l'horizon, et pourtant ! Après une avancée lente jusqu'à 17h45 ou le score malgré tout honorable de 11 ouvrages fut atteint, une envolée s'amorça, qui, pendant les deux heures qui suivirent, nous fit atteindre le nombre victorieux (au vu des auspices matinales) de 22 VENTES, sous lequel s'acheva cette belle journée de septembre.

Bon, certes, j'adore les hyperboles, mais bon ! :D

J'exagère évidemment, cette journée, très sympathique d'ailleurs, n'ayant pas battus de record de ventes sans pour autant, à l'inverse, demeurer décevante (cf. Les Herbiers hier... Hein ? Non, Un !)... Bref, une journée réjouissante, toujours aussi agréable et emplie de contacts sympathiques durant toute l'après-midi.

Qu'en est-il de Grasla et de Tiffauges... sortez des bosquets, venez au créneau, j'attends vos réponses !


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Quelques pas sur les petites routes de Vendée,
et nous voici, pas très loin des Lucs-sur-Boulogne...
dans la forêt de Grasla (commune des Brouzils)

Voici ce que nous en dit Jacqueline :


Dans le cadre des Journées du Patrimoine, l'Association du Refuge de Grasla avait manifesté le désir d'avoir la présence de quelques auteurs du livre Contes et légendes de Vendée, pour dédicacer l'ouvrage auprès d'éventuels acquéreurs.
de gauche à droite :
Jacqueline Gendronneau, Régine Albert, Jim Morin, Bernard Brunelière et son épouse

Nous étions ce dimanche après-midi à Grasla 4 auteurs : Régine Albert, Jim Morin, Bernard Brunelière et Jacqueline Gendronneau.

Ce fut d'un calme plat. Quelques visiteurs ont feuilleté l'ouvrage, se sont renseignés, mais au final un seul ouvrage de vendu ! De passage, Wilfrid Montassier, Président du Refuge, a fait la même constatation que nous : les visiteurs des Journées du Patrimoine sont consommateurs de visites rapides, gratuites, souhaitant découvrir le plus de sites possibles.

Nous avons, malgré cela, passé un agréable après-midi entre nous, à discuter, plaisanter, faire plus ample connaissance.

Sandrine a proposé, si nous le souhaitons, de venir à Grasla dimanche prochain dans le cadre d'une exposition de peintures, qui marquera la fermeture estivale du Refuge. À charge de revanche, nous avons accepté sa proposition.


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Et je vais terminer en vous décrivant notre après-midi
au Château de Tiffauges


Après avoir chaleureusement été accueillies par Bruno Chiron, le directeur du site et son équipe, nous nous sommes installées dans la cour principale de la magnifique forteresse moyenâgeuse dont les vieilles pierres auraient bien des choses à raconter, si elles pouvaient parler...

Bruno Chiron et ses vendeuses de la boutique librairie

Nous n'avions pas hésité à endosser nos costumes régionaux pour coller encore plus avec le lieu, vous remarquerez le professionnalisme.

L'ombre de Gilles de Rais a certainement dû planer sur Delphine et moi durant tout l'après-midi et empêcher les visiteurs de nous approcher car nous avons fait un score piteux... minable.... de quoi donner à François des envies de fanfaronner.



Bon, nous avons quand même sauvé la face en vendant 4 ouvrages (nous aurions pu en vendre 5 si une petite dame était venue avec son chéquier - damned !) ;  c'est quand même mieux que rien n'est-ce pas ? Il faisait beau, les visiteurs étaient sympas, alors au final, un bel après-midi entre amis...


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Résultat du match de ce jour :
L'historial : 22
Tiffauges : 4
Grasla : 1

Nous t'aurons, François, nous t'aurons.....
le glas de notre vengeance ne va pas tarder à sonner...

Portrait d'auteur : Claudine Hillard

Claudine Hillard est l'auteure du conte « Le Prince du marais aux fèves ».


Nantaise née en 1948, j'aime les mots depuis toute petite. Selon la légende familiale, j'écrivais dès le CP de petites historiettes sur un coin de table.



La rencontre avec la Vendée s'est faite à l'âge de 20 ans par l'intermédiaire de mon mari qui a passé sa jeunesse à La Roche sur Yon.
Ses parents s'étant très vite installés sur la côte, je suis tombée amoureuse du beau pays des Olonnes, j'y suis venue régulièrement et avec bonheur pendant plus de 40 ans, j'y vis aujourd'hui en m'y sentant chez moi.

J'ai écrit des poèmes, des nouvelles, au fil des années qui passaient mais ma vie familiale, mon métier d'enseignante-documentaliste dans un grand lycée nantais ne m'ont guère laissé le loisir de m'y consacrer plus assidûment car vous savez tous comme moi que le travail d'écriture est un travail exigeant qui demande une grande disponibilité de temps et d'esprit.

En retraite depuis septembre 2008 aux Sables d'Olonne, d'abord émerveillée comme nombre de retraités, face à cette immense vacance qui permet et promet toutes les libertés, je me suis lancée dans différents projets avant de participer pour la première fois à un concours de nouvelles. Cet appel à l'écriture ne pouvait laisser indifférente une amoureuse de la Vendée et a réveillé en moi une envie qui sommeillait sans doute.

J'ai (re) découvert un plaisir de création qui m'a incitée à participer à d'autres concours dans la France entière. Depuis celui du salon du livre de Grasla, j'ai participé à trois autres concours et je compte bien ne pas m'arrêter en si bon chemin.

Je n'éprouve pas l'envie de me consacrer à la rédaction d'un roman ou d'une biographie de personnage méconnu comme j'en ressentais le désir, plus jeune, un peu par manque de motivation, de courage face à l'astreinte qu'une telle entreprise nécessite mais surtout parce que je veux me sentir libre, l'une de mes activités favorites, qui est un art à part entière, restant de m'occuper de mes petits-enfants ( 9 ans et demi et 5 mois).

20 septembre 2010

Portrait d'auteur : Jacqueline Gendronneau

Je suis née le terrible hiver 1954 dans une petite commune vendéenne. J'habite actuellement la Roche-sur-Yon.


Enfant, j'étais déjà passionnée de lecture et mon livre favori c'était les Contes de Perrault, un gros livre à la couverture cartonnée rouge, appartenant à mon frère aîné.

À l'école, mon cours préféré c'était le français, et j'adorais les rédactions et les dictées.

J'avais 16 ans lorque j'ai commencé à écrire des poèmes en vers. Poèmes pour exprimer ma sympathie aux gens à l'occasion d'un évènement particulier. Maniant les mots avec humour, j'adore mettre mes amis en boîte, en poème ou en chanson !

Longtemps membre du Comité de rédaction d'une association, j'ai commencé en 1993 à inventer des contes de Noël pour notre bulletin de liaison et parce que nous étions à cours d'idées. Le Noël de Matthias est le tout premier d'une dizaine de contes, que j'ai revisité pour concourir. Tous mes contes sont inspirés de souvenirs d'enfance, ce sont des textes destinés à garder la mémoire populaire. Le personnage de Matthias est écrit à partir du souvenir d'un homme hébergé par la commune dans un car désaffecté et aménagé en logement de fortune. Le corbeau, et la tradition des ventes à la crèche sont réels.

J'aime particulièrement la langue de Molière, et j'aime tout autant le parlanjhe qui fait partie de notre patrimoine culturel régional, je suis d'ailleurs bilingue !

Passionnée de français, c'est tout naturellement que je suis adhérente du club d'orthographe "Les Accros de l'Accord" à Aizenay.

Lauréate de ce concours, je vis une aventure fabuleuse, qui m'a donné l'envie de poursuivre dans l'écriture. Secrétaire à la retraite depuis avril dernier, je vais pouvoir m'y consacrer.

19 septembre 2010

Dédicaces à la Bibliothèque des Herbiers

Deux compte-rendus pour le prix d'un, elle est pas belle la vie ?



Voici la version "Delphine Marchal"


Comme toujours, nous avons été très bien reçus par les trois responsables de la bibliothèque... malheureusement nous avons eu assez peu de visites et encore moins de ventes !!!

Nous pouvons maintenant faire une catégorie "Flop" (et bien vi... on ne peut pas toujours atteindre les "scores" grandioses de nos précédentes séances de signatures !), puisque seules la petite Amandine et sa maman nous ont fait le plaisir d'acquérir notre livre aujourd'hui !

Quelques autres visiteurs étaient intéressés par "les contes et légendes de vendée", mais en tant qu'adhérents de la bibliothèque, très peu étaient venus munis du porte-feuille !!

Nous aurions probablement eu plus de succès en réalisant les signatures directement à la Maison de la presse du centre... Mais ceci dit, nous n'avons pas perdu notre temps puisque nous nous sommes adonnés à notre sport favori... à savoir le papotage et les jacasseries en tout genre !

Nous avons donc passé un agréable moment tous ensemble, en signant pour les uns et les autres des auteurs présents, les exemplaires du livre sur lesquels manquaient à l'appel certaines de nos signatures.

Régine a également fait chauffer son stylo avec ses délicieuses "Nouvelles Pierres de sucre" !

François en a profité pour faire trempette avec ses plumes calligraphiques dans l'encre de Chine... et mine de rien il a bien assuré (hormis les quelques petits pâtés par ci par là !).

Quant à Jacqueline, sa question du jour était "vais-je avoir assez d'encre dans mon stylo pour tenir jusqu'à la séance de Grasla de demain !"

Et pour clore ces deux petites heures de dédicaces (qui sont passées encore une fois très vite !), les responsables de la bibiothèque nous ont gentiment offert boissons et petits gâteaux !




Et maintenant, la version François Hublet :


La séance de dédicaces organisée à la Bibliothèque des Herbiers vient de s'achever, et je m'en vais donc, avant de goûter un repos (bien?) mérité, vous dire ce qu'il en a été...

Pour l'ambiance, tout d'abord, rien à dire. Les bibliothécaires autant que les lecteurs (relativement nombreux à entrer dans la bibliothèque) venaient aisément vers nous pour observer nos ouvrages (Les Contes et Légendes ainsi que le recueil de nouvelles de Régine). Quelques discussions se sont amorcées, agrémentées d'un brin d'humour, ne nous laissant pas nous ennuyer...

Pour les ventes, en revanche, the catastrophy is coming soon, ou, pour les non-anglicistes, die Katastrophe wird bald kommen - pour les non-germanistes non anglicistes, en revanche, le suspense reste entier... plus sérieusement, pas de record à l'horizon (du moins pas dans le sens espéré) puisque nous avons en tout et pour tout arraché aux stocks de la maison de la presse 1 (one, ein, één, uno - un, quoi !) ouvrage... une seule vente en deux heures, qui, certes ne nous fera pas millionnaire en un jour (pourtant on y a cru !) mais nous a permis de nous retrouver dans une atmosphère conviviale.

Dommage, mais cette bibliothèque n'était peut-être pas le lieu le plus adapté (personnes n'ayant pas leur argent sur eux, voulant emprunter et non acheter, etc.) pour établir un record international.

A charge de revanche, à demain (mon tiercé : Historial, Tiffauges, Grasla).

15 septembre 2010

Portrait d'auteur : Marc Sachot

C’est en octobre 1972 que le petit marc ouvrit les yeux en n’oubliant pas de crier comme il faut pour ne pas se prendre sa première claque sur les fesses.


Elevé dans un milieu enseignant, il clopina paisiblement jusqu’au bac. Après des études de biologie laborieuses, le devoir national semblait irréversible. Mais faire « mumuse » avec de vraies-armes-qui-tuent était loin de ses préoccupations. Par contre, l’animation l’appelait de ses sirènes et il y plongea pendant bien des années avec comme plaisir premier, le théâtre.

Et voilà l’écriture ! Des saynètes, des piècettes et même 3 pièces de théâtre pour les jeunes et les moins jeunes qu’il encadrait.

Et puis, un challenge personnel émergea : « Et pourquoi pas écrire un roman, hein ? C’est vrai quoi, y a pas de raison ! »

Sous les sourires dubitatifs de ses proches, et sans s’en offusquer, il écrivit.


5 ans après, « le Dernier Druide » voyait le jour en décembre 2006 avec le début des aventures de Lucas dans un monde fantastique plein de Magie.


L’animation fit place à l’enseignement, la Loire-Atlantique à la Vendée mais, le théâtre continua.

Des enfants naquirent, 3 pour être précis.
En 2009, « le Silence des Druides » marqua la fin des aventures de Lucas, et la participation au concours d’écriture que vous connaissez bien.

Le petit marc qui a bien grandi et un peu blanchi a quelques projets dans sa musette :

- 3 albums jeunesse, réalisés avec une amie pour les illustrations, attendent un gentil éditeur
- un recueil de contes et légendes oubliés sur la création de notre monde est en chantier depuis 2 ans
- et le théâtre, toujours le théâtre

Pour clôturer ce portrait, voici le texte qui accompagnait « le Pont du Déluge » lors de l’appel à écriture :

Cet immense pont au sein du massif forestier de Mervent-Vouvant m’a toujours laissé une impression bizarre. Une fois au pied, on réalise que c’est une porte magique au milieu des arbres. Quiconque franchit cette porte, bascule sans faire trop d’effort dans un autre monde : celui du rêve, de l’imaginaire, des contes et des légendes.

Je crois être passé de l’autre côté…

Et pour finir, mon blog http://elledryn.over-blog.fr/ qui présente surtout les « bonus DVD » liés aux deux romans.

11 septembre 2010

Dédicaces à La Verrie, le compte-rendu de Delphine et Laurent

Après un début de matinée calme et ensoleillée dans ma petite bourgade verriaise, l'arrivée en fanfare ce 18 septembre, de la toute guillerette Jacqueline à 11h30, a sonné le début des ventes !!

Jacqueline et Delphine

Marie-Noelle et Claudie, les 2 responsables du tabac presse, nous ont proposé un petit café  nous avons passé une agréable matinée à papoter, à pouvoir contempler les fesses clouées sur nos chaises, l'exposition de voitures anciennes qui se tenait en face sur la place, mais aussi et surtout à signer quelques livres (et ben vi... nous étions quand meme là pour ça !).


A 12h30 après une petite ruée de dédicaces de dernière minute (5 livres vendus dans la matinée), nous sommes parties déjeuner tranquillement (enfin tranquilou c'est vite dit... coup de speed pour faire les courses et être de retour dans les temps...

Mais malheureusement les trop ponctuels Laurent et Jacqueline m'ont devancée en arrivant les premiers cet après midi !! Alors ce petit restau de la malle poste, l'était bien hein Jacqueline ?! je ne t'ai même pas demandé ce que tu avais pris comme menu !).

Laurent, Claudie, Marie-Noëlle et Delphine

L'après-midi, Laurent le vendéen est sorti de son congélateur, pour nous rejoindre superbement costumé (comme toujours ! ) de la tête aux pieds. Prise au jeu, j'avais donc décidé d'enfiler ma tenue de....euh... "la petite maison dans la prairie" diront certains !

Mais pourquoi Jacqueline n'as tu pas apporté ta tenue de Vamp ou de bergère ?? Lol... Mais ce n'est que partie remise, n'est ce pas Jacqueline ??


Jacqueline, Lauent et Delphine

Ce fut en tout cas, un bel après-midi à jacasser (comme d'habitude vous allez me dire !! je crois qu'à ce petit jeu là, nous allons devenir imbattables !!), picorer quelques gâteaux et pâtisseries... et discuter agréablement avec les visiteurs, curieux et intéressés par le livre, ses contes et les lieux qui s'y rapportent.


Jacqueline, Laurent et Delphine

A ce propos nous avons eu la visite du maire de Mortagne sur sèvre, Alain Pauvert, qui s'est fait un plaisir de nous acheter un livre et qui connait visiblement assez bien le personnage de "Riquiqui" (Conte que Marie-France a écrit), tout comme un autre passant qui nous en a touché aussi quelques mots.



L'union des commerçants ayant également organisé ce jour là une journée "portes ouvertes", nous avons aussi pu assister à quelques animations de rues et au défilé de la Fanfare de la Verrie à 19h,



...sans oublier les passages de la voiture-annonces qui claironnait, entre autre,  gaiement nos noms et annonçait notre présence devant le tabac presse pour les signatures de notre livre des Contes et légendes de Vendée.

Et pour la petite note d'humour, notre Laurent a été aux yeux de certains bien plus qu'un simple vendéen... Ô Grand et majestueux Sir Laurent !!! bah vi... d'adorables petites têtes blondes ont vu en Laurent... un chevalier d'un autre temps !!!

Laurent et Delphine

L'affluence des promeneurs était loin d'être celle de nos dédicaces estivales mais nous avons quand meme l'immense plaisir de vous annoncer qu'à l'issue de cette sympathique journée, nous avons réalisé une vente totale de 21 livres !!!

Je pense que nous pouvons dire sans nul doute que nous avons réalisé un beau "jack pot" ! J'étais loin de me douter que nous arriverions à tel "score" ! Laurent et moi sommes repartis vers 19H45 encore tout époustouflés et étonnés d'un tel "succès !

Jacqueline nous avait lâchement abandonnés vers 17h pour filer rejoindre une copine, mais elle nous avait prédit un beau résultat pour la fin de l'après-midi... elle ne s'était pas trompée !

Pour compléter mon compte-rendu, voici ce que Laurent a ajouté :

Je voudrais souligner que je suis arrivé pour 15 h , la ponctualité des chevaliers n'étant plus mise en doute. Et dès 15h , les femmes, Delphine et Jacqueline étant légèrement en retard , nous avons le quart d'heure choletais, vous avez la demi-heure vendéenne, dès 15h donc je suis tombé nez à nez avec un chasseur d'autographes ( nous devenons célèbres ) Il avait quelques dédicaces de Challans, ou il avait acheté le livre et il est venu compléter sa collection à la Verrie !

La suite fût tout aussi plaisante , à l'ombre du tabac presse, nous avons fait chauffer les crayons. Ce livre serait-il magique ?

Des animations et de l'animation toute l'après midi, nous avons même servi de borne de renseignement pour un rallye avec des questions sur la Vendée, ils étaient bien tombés !

Pour ne pas déroger à la règle, Delphine avait prévu les gateaux ( he oui Jacqueline, le régime ce sera pour demain).

Monsieur le maire de Mortagne sur sèvres va apprendre des choses sur Riquiqui, il nous a pris un livre.

10 septembre 2010

Portrait d'auteur : Jean Turcaud

Pour paraphraser le dernier d’Ormesson, je dirai que « c’est une étrange chose à la fin que son propre monde », et l’autoportrait est un exercice périlleux, éminemment subjectif, qui bouscule l’intime. Y poussé par notre super ‘blogueuse’, j’y consens pour quelques lignes.


Les 65 années que j’accuse au conteur ( ! % § ) se résument, pour l’essentiel, à quelques mots-clés comme école, classique et tout en même temps rigolade, musique, écriture et mise en scène.

Mes parents commerçants m’ont très tôt mis à "l’asile" ; non pas chez les fous, à la Grimaudière, mais dans ce qui ressemblait à ce qu’on appellera plus tard l’école maternelle.

Au sortir de l’école primaire, de longues, d’interminables années de pension, où le chant, le théâtre l’écriture venaient percer l’ennui, éclaicir les jours pareils aux jours.

3 ans de pionnicat pour financer les études, instituteur en cours complémentaire, puis professeur de collège enseignant le français et l’histoire-géo, plus tard professeur certifié de lettres classiques ( français-latin ) en lycée.. un parcours linéaire et, somme toute, ‘classique’.

Captif de Mouilleron depuis une quarantaine d’années, aujourd’hui retraité, je suis engagé dans la vie associative locale: je préside un jumelage avec une ville allemande proche de Cologne ; je dirige L’AMBOIS, association de recherches sur l’histoire de Mouilleron, qui fait paraître depuis 15 ans le Bulletin de l’Ambois ; une vingtaine de numéros sont disponibles sur le site de la commune ( Mouilleron / découvertes / historique ). Un ouvrage est en préparation.

J’ai bien d’autres hobbies ( pour parler franglois ) : le chant choral, par exemple, au sein du chœur Roland de Lassus de la Roche.

Mais assez parlé de moi, vite au suivant !


Retrouvez Jean dans le recueil des Contes et légendes de Vendée,
avec sa nouvelle "La légende du meunier captif"

4 septembre 2010

Portrait d'auteur : Manuel FROGER

Manuel est l'auteur, sur le recueil de nouvelles, des "Trois prophéties d'Olonna".



Il est l'auteur aussi de "La tragédie du Fend-la-Bise" :
cet ouvrage a reçu le premier prix du roman policier "echos de la mer" aux Sables-d'Olonne.





Retrouvez Manuel sur le blog collectif : trentecommetrenteneufcommunes.

Le gâteau au chocolat de Juliette

Allez, on va sortir des rayons de librairies et maisons de la presse, oublier pour un temps nos crayons, nos papiers... et passer à des considérations plus gourmandes.

Vous avez certainement remarqué que, lors des séances de dédicaces, de nombreuses petites douceurs nous étaient offertes (et je ne parle pas des sardines que Marc a dégustées aux dédicaces de Challans !)...



...les bottereaux (ou foutimassons) de la maman de Delphine, les cookies de la maman de François, le chouquettes et LE gâteau au chocolat de Juliette (qu'elle doit tenir de sa maman, d'ailleurs).... Ah, ces mamans, qu'est-ce qu'on ferait sans elles ?

Alors, de temps, et si elles veulent bien nous les confier, je mettrai les recettes et photos de ces gourmandises.

Voici donc, en avant-première, LE gateau au chocolat de Juliette, dégusté ici à Saint-Gilles-Croix-de-Vie, à l'espace culturel du Leclerc :





Et voici sa recette :

200g chocolat noir
120g beurre
200g sucre
4 oeufs
6 càs rases de farine
une pincée de sel


Faire fondre le beurre et le chocolat. 
ajouter le reste et mélanger. 
Cuire 30 min à 180° dans un moule à cake.




C'est tout simple, bête comme chou à préparer, mais c'est drôlement bon... ne manquait, pour l'accompagner, que le Coteau du Layon promis par Laurent !